Temps de lecture : 3 minutes

Biographie de l’auteur :

Originaire d’Italie, Ali Hazelwood a vécu au Japon et en Allemagne avant de s’installer aux États-Unis pour poursuivre un doctorat en neurosciences. Elle est ensuite devenue professeure, et la perspective de se voir confier l’enseignement de jeunes esprits la terrifie. Quand Ali n’est pas au travail, elle aime faire de la course à pied ou du crochet et regarder des films de science-fiction avec son mari et leurs deux chats, qui règnent en maîtres sur leur foyer.

Présentation de l’éditeur :

En pratique, Elsie sort avec Greg. Enfin, c’est ce qu’ils font croire. Le soir, pour arrondir ses fins de mois, Elsie loue ses services de fausse petite amie idéale. Et le jour, elle trime dans les amphis et croule sous les copies d’étudiants dont la grand-mère vient encore de mourir. Son rêve de toujours ? Être chercheuse titulaire ! Alors quand le département de physique du MIT ouvre un poste, Elsie ne perd pas une seconde. Seul accroc : Jack Smith, l’un des recruteurs (et, accessoirement, un brillant scientifique aussi arrogant que sexy), est prêt à tout pour placer son propre poulain… Mais rien ne se mettra entre elle et ce poste, même pas ses biceps à défier les lois de la gravité. En théorie, tout devrait bien se passer, non ?

Editions : Hauteville

Date de sortie : 2 mai 2024

Pages : 416

Mon avis :

« Love, Theoretically » de Ali Hazelwood : la romance scientifique qui a fait fondre mon cœur !

« Love, Theoretically » est le dernier roman de Ali Hazelwood, et il m’a totalement conquise. Cette romance, comme les précédents titres de l’autrice, se distingue par son cadre original dans le monde scientifique, un milieu où les défis sont nombreux, surtout lorsqu’on est une femme.

L’histoire suit Elsie, une physicienne passionnée et déterminée, qui peine à trouver un poste stable dans le monde académique. Pour joindre les deux bouts, elle devient « fausse petite amie » à louer, un job qui l’amène à croiser Jack, un professeur charismatique et mystérieux. Leur rencontre marque le début d’une relation complexe, pleine de quiproquos, d’attirance et de découvertes personnelles.

A nouveau,  j’ai particulièrement apprécié, la manière dont l’autrice aborde les difficultés rencontrées par les femmes et les minorités dans le monde de la science. 

Elsie est un personnage dans lequel je me suis immédiatement reconnue : elle est intelligente, pleine d’humour, mais aussi vulnérable. Elle m’a beaucoup touché, en particulier dans sa quête de reconnaissance. Son évolution au fil du récit est inspirante, et sa relation avec Jack apporte une dimension encore plus humaine à l’histoire.

Quant à Jack, il incarne, à mon sens, le parfait « bookboyfriend » : attentionné, intelligent, avec ce petit côté ténébreux qui le rend irrésistible. Leur alchimie est palpable et rend la lecture encore plus addictive.

« Love, Theoretically » et les autres titres de l’autrice sont des livres que l’on lit avec un sourire niais aux lèvres. Ce sont des histoires qui font soupirer, car même si elles sont prévisibles, elles mettent du baume au cœur et des papillons dans le ventre. 

En résumé : 

« Love, Theoretically » est bien plus qu’une simple romance. C’est un roman qui mélange habilement amour, science et thèmes sociaux, le tout avec une touche de féminisme. Une lecture que j’ai adorée et que je vous recommande chaudement si vous aimez les romances douces et intelligentes. 🌟

Retrouvez mes avis sur les autres titres de Ali Hazelwood : 

The love Hypothesis

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